Les livres sont éternels !

Nos livres deviennent un peu plus « éternels » ! L’expérience est concluante et je commence à remettre en circulation mes nouveaux et mes anciens livres. Ceux-ci sont relus, corrigés, adaptés si possible. Ils sont surtout disponibles en plusieurs déclinaisons, y compris les versions « papier », cela va de soi ! Voici ci-dessous les liens vers les derniers ouvrages édités sur Amazon.fr (fr car cette fonction n’existe pas sur .be)

N’hésitez pas à donner votre avis et surtout des commentaires de lecture, comme j’en ai reçus beaucoup pour « Mon Bloc-Notes ». Merci !

Ces créations littéraires étaient pour moi comme des pas dans la neige, ce sont désormais des pas gravés dans la pierre du temps.

Mon bloc-notes (des réflexions, des pensées, des anecdotes…)

Une diva amoureuse (amants sur scène et dans la vie, les coulisses du théâtre…)

Mortes-Maisons (des nouvelles qui se passent dans de mystérieuses maisons…)

La trilogie de Maître Gustave (Trois époques de la vie d’un écrivain célèbre, de sa vocation jusqu’à sa réussite, une description de l’intérieur de la création littéraire…)

Merci pour votre amicale attention !

Merci de me lire si bien !

Voici le dernier commentaire sur « Mon Bloc-Notes » (Amazon.fr)

aviscène

5,0 sur 5 étoiles quel délice ces confidences empreintes d’humour!

Commenté en France le 30 mars 2024

Un livre à la fois instructif et divertissant où l’auteur retrace ses rencontres durant sa carrière professionnelle, ses anecdotes avec son entourage que ce soient sa famille ou des personnalités médiatiques. Sur un ton paternel, empreint d’humour, l’auteur partage généreusement ses petits fragments de vie en toute humilité. On se sent de suite happés par le style décontracté qui nous met de suite à l’aise. Un sentiment de nostalgie nous accompagne au fur et à mesure qu’on avance dans la lecture comme si nous avions vécu la même époque.
Je me suis délectée de cette lecture dont le rythme soutenu ne laisse pas un temps de répit. Je me suis sentie telle une enfant s’émerveillant face aux histoires racontées auprès d’une cheminée, toujours à l’affut de la suite.
Une plume généreuse et chaleureuse qui vient vous questionner, vous titiller, vous interpeller…Un écrit sur le passé mais qui vous ancre dans le présent. On se surprend à penser. Et nous, quels sont les souvenirs qui nous ont marqués ? A quel moment avons-nous observé et contemplé réellement les objets et la création qui nous entoure en pleine conscience ? A quel moment nous sommes-nous sentis vivre véritablement ? Je remercie chaleureusement l’auteur pour ses confidences, ce partage humain d’une authenticité rare. A lire et relire!

A propos de mon dernier livre

Voici la critique de Bernard Delcord…

Une lecture de la vie…

Bien connu de ses compatriotes belges francophones, Jacques Mercier (°1943) est un journaliste, écrivain et homme de télévision et de radio qui a œuvré sur les ondes et les écrans de la RTBF entre 1963 et 2008.

On se souvient, par exemple des émissions radio intitulées Dimanche Musique, Le Jeu des Dictionnaires ou La semaine infernale et, à la télévision, de Forts en Tête, Monsieur Dictionnaire (en duo avec Philippe Geluck) et C’est archivé près de chez vous.

Il est aussi l’auteur de plus de 60 livres aux thématiques et aux formes variées, allant du chocolat à la grammaire française et du roman aux haïkus.

C’est également un grand connaisseur de la musique de jazz qu’il évoque dans des spectacles-conférences avec son fils Stéphane, un saxophoniste célèbre jusqu’à New York.

Cette vie bien remplie est évoquée dans Mon Bloc-Notes qui paraît chez Amazon.fr[1], un recueil de réflexions et d’évocations au fil de l’eau et du vent à la manière des Choses vues de Victor Hugo, du Journal de Jules Renard ou de Je me souviens de Georges Perec.

Extraits :

Dans les années 1960, nous étions fascinés par les émissions du conférencier français Henri Guillemin. Pour les élèves journalistes que nous étions, on le donnait en exemple de charisme dans la sobriété. Seul un léger zoom élargissait lentement son buste et son visage aux lunettes sévères, en plan américain, durant la vingtaine de minutes de sa causerie. Il nous transmettait ainsi la passion de la Révolution française, de Jeanne d’Arc ou de Tolstoï.

Un des moments les plus bouleversants de ma vie fut une visite à une clinique psychiatrique, celle de Fond’Roy à Uccle. À la demande d’un des médecins responsables, j’ai parlé de l’amour à des adolescentes qui avaient été maltraitées, abusées et violées.

Quand on est homme de médias, on peut aussi mesurer le temps qui passe aux réactions : « Je vous écoutais enfant dans la voiture » ; « Ma mère était fan de votre émission de télé » ; « Mon grand-père nous a raconté les fous rires du dimanche soir ! »

Georges Brassens raconte qu’avant, on appelait les premiers cheveux blancs des pâquerettes de cimetière.

Au Japon, où l’on meurt de karôshi, par surmenage, par dépassement du travail, existe un Club de la Paresse.

Le mot de Louis XIV en parlant avec Le Nôtre des jardins de Versailles : « Vous y mettrez un peu d’enfance ».

Joli, n’est-il pas ?

Bernard DELCORD

Mon Bloc-Notes par Jacques Mercier, Amazon.fr, mars 2024, 224 pp. en noir et blanc au format 12,7 x 20,4 cm sous couverture brochée en couleurs, 13,70 € (prix France)


[1] https://www.amazon.fr/Mon-Bloc-Notes-Jacques-Mercier/dp/B0CX21CHVB/ref=sr_1_1?crid=2B85GHVPTXEDE&dib=eyJ2IjoiMSJ9.a9QOFuWpBrMVkf-cnNKkgQ.HJ7tPpWtbyNVmK7j9BqYs0Y7FUZZH3e59puGLIa_uK0&dib_tag=se&keywords=mon+bloc-notes+jacques+mercier&qid=1711310892&sprefix=Mon+Bloc-%2Caps%2C497&sr=8-1

De la musique dans mon « Bloc-Notes » !

Le progrès peut être magnifique ! Comme je parle assez régulièrement de musique et de chanson dans mon dernier livre « Mon Bloc-Notes » (sur Amazon), vous pouvez aussi écouter ces morceaux grâce à un lien qui vous emmène immédiatement à leur écoute ! Vous pouvez aussi faire l’inverse, puisque je vous copie ci-dessous le QR Code vers la liste et si vous êtes curieux, vous irez lire ce que j’en dis ? Bonne lecture ET bonne écoute !

http://www.amazon.fr https://amazon.fr

« Mon Bloc-Notes » est paru !

Partager « Mon Bloc-Notes » ?

Pour fêter le printemps, voici mon nouveau livre « Mon Bloc-Notes » ! Des pensées, des réflexions, des souvenirs à picorer comme les grains d’une grappe de raisin !

En trois versions sur Amazon : Broché, Relié et Livre électronique.

(Amazon.fr – Rubrique « Livres » – « Jacques Mercier Mon Bloc-Notes »)

Si par bonheur, vous avez envie de vous le procurer et de le lire, votre commentaire sera précieux pour que je puisse connaître votre avis.

Excellente découverte et un grand merci pour votre amical intérêt !

La poésie à Tournai

Ajout à l’article précédent, – grâce à l’amicale attention de Bernadette Bodson, poétesse tournaisienne – j’ajoute et je vous montre ici les deux panneaux qui reprennent mes courts poèmes de ce mois de mars sur le thème de la grâce. Voici son commentaire : « NB: Sur les deux photos, en haut, près de vos textes, vous remarquerez que les statues de personnages historiques de Tournai sont déjà habillées pour le carnaval de Tournai, qui aura lieu ce week-end. La semaine prochaine, elles seront «déshabillées). Ainsi va la vie.« 

Encore bravo et merci pour cette initiative !

Tournai : Ville en Poésie

Quelle excellente initiative que celle de la ville, où j’ai accompli mes études d’adolescence et de journalisme ! Comme à chaque printemps, les panneaux lumineux de la ville de Tournai afficheront de courts poèmes. Cela dure tout le mois de mars et je vous propose ci-dessous les deux contributions poétiques de Bernadette Bodson. (Deux de mes poèmes ont été retenus). Le thème de cette année : la grâce !

Du coup

La vie m’a appris à être tolérant. En particulier dans le domaine de la langue française, où je m’implique. Donc, sans jugement, je dresse un petit constat (non exhaustif) de quelques tics de langages. Le problème est surtout qu’ils sont omniprésents et donc peuvent devenir agaçants !

En mode. Cela parle de l’état d’esprit. « Le week-end, je suis en mode détente. »

Petit. C’est une façon de parler, c’est plutôt gentil. « On se fait un petit restaurant ? »

Genre. Mot qui illustre quelque chose. « Genre, il m’a raconté sa vie. »

Hein. Une façon d’accrocher l’autre, de l’inclure dans la conversation. « Vous le connaissez, hein ? »

En fait. Une locution adverbiale qui explique. « En fait, j’étais fatigué et je ne suis pas sorti. »

C’est vrai que. Pour commencer une phrase et répondre. « C’est vrai que j’ai beaucoup travaillé. »

Voilà. Petite incise qui se glisse partout, surtout quand on ne termine pas sa phrase. « Je t’ai tout dit, voilà. »

Carrément. Un oui appuyé, comme le « tout à fait » toujours d’actualité. « Tu veux accompagner ? – Carrément. »

Et puis, il y a surtout le « Du coup » !

Du coup. On marque la suite, la conséquence. Jusqu’à plusieurs fois par phrase. « Du coup, je suis sorti de la classe et du coup j’ai pris le bus. »

N’oublions pas que tout passe, évolue. Et qu’il existe des choses bien plus importantes !

Notre praline et une erreur tenace !

Comme je viens de lire un article qui raconte erronément l’origine de notre praline belge, je reprends ci-dessous un passage d’un de mes livres consacrés au chocolat qui corrige cette affirmation de l’origine bordelaise. (J’ai lu par ailleurs que les Français – décidément ! – revendiquent aussi l’origine de la frite… pourtant, elle est située sur les rives de la Meuse en Belgique). Sans être « chauvin », corrigeons ces assertions !

« La plupart du temps, on explique l’origine du nom « praline » en faisant référence au Maréchal du Plessis-Praslin. Tout d’abord c’est son cuisinier, appelé étrangement Lassagne, qui découvre par hasard une confiserie en faisant rissoler des amandes grillées dans un reste de sucre bouillant. Il avait vu l’un de ses marmitons grignoter un morceau de sucre fondu ! Monsieur de Choiseul, duc de Plessis-Praslin (1598-1675) était ambassadeur du roi de France, Louis XIII et c’est durant le siège de Bordeaux, car les Bordelais s’étaient rebellés contre l’autorité du roi, que se situe l’anecdote. Le mot s’écrivait « prasline » au départ, puis « praline » dès 1680. Après avoir conquis bien des titres de gloire, le maréchal se retire à Montargis. Il y fonde la « Maison de la praline », qui existe encore aujourd’hui.

Cependant, une autre explication du mot me paraît aussi plausible, si pas beaucoup plus. Le verbe « praliner » fait partie du jargon du monde de l’agriculture, il définit l’action d’enrober d’engrais les racines d’une plante ou les graines avant de les mettre en terre, mais aussi celle de les envelopper avant de les remiser dans un lieu intérieur pour l’hiver. Ce mot est accepté dans la langue en 1856. On voit bien le parallèle avec le fourrage de la bouchée dans l’enrobage du chocolat, plus que le fait de rissoler. L’acte de dépôt de la « praline » est enregistré en 1912. Le succès est immédiat. »